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Il n'y aura pas de dernier poème, pas plus que de dernier voyage. De mes poumons gonflés de couleur et de vide, le vent ocre s'échappe comme d'une outre percée. La neige du Kosovo tombe sur l'aube livide, un serpent de lumière ondule vers Kigali... Quelque part, n'importe où, les voiles de l'enfance rêvent à d'autres étés.
P
Préface de Blaise Rosnay.
Enregistrement d'une lecture musicale (en cours).
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